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Les
lettres nationales d'information aux médecins et aux hospitaliers
Consultez la lettre nationale d'information aux médecins
Consultez la lettre nationale d'information aux hospitaliers

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Analyses Stat : « Lipasémie »
Pour le diagnostic biologique de la pancréatite aigue, la HAS préconise de ne plus doser l’amylasémie ; seule la lipasémie doit être dosée. En 2008, en Auvergne, 2,1 % des personnes ont eu au moins un dosage d’amylasémie et/ou de lipasémie. Une de ces personnes sur cinq s’est vue doser uniquement la lipasémie, deux sur cinq uniquement l’amylasémie et deux sur cinq l’amylasémie et la lipasémie. Les médecins généralistes ont été à l’origine de 68 % des dosages. Parmi les généralistes ayant prescrit au moins 25 dosages au cours de l’année 2008, le pourcentage de lipasémie seule variait de 0 % (pour 38 % des professionnels) à plus de 90 % (pour 11 % d’entre eux).
Pour en savoir plus :
Consultez l'étude du Service du contrôle médical Auvergne sur «Lipasémie»
Consultez la liste des numéros d'Analyses Stat parus

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La HAS a publié pour vous
Pour diagnostiquer une pancréatite, seule la lipasémie doit être dosée. Ainsi l'amylasémie ne doit plus être dosée. Ces recommandations font suite à une saisine en juin 2008 de la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) du fait du constat du nombre de dosage élevé d’amylasémie alors qu’une conférence de consensus française de 2001 préconisait qu’une pancréatite aiguë doit être suspectée devant toute douleur abdominale aiguë intense associée à une lipasémie trois fois supérieure à la normale, dosée dans les 48 premières heures suivant l’apparition des symptômes. Elle stipule également que l’association d’un dosage de l’amylasémie n’apporte pas d’élément complémentaire.
Comme vous le verrez dans l'Analyse Stat "Lipasémie", en Auvergne des amylasémies sont encore prescrites. Mais, il est constaté également que pour certains médecins, le message sur le dosage de la lipasémie seule est bien passé. ...suite
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Le protocole de soins électronique
Le Protocole de Soins Electronique (PSE) est l'équivalent électronique du Protocole De Soins (PDS) pour demande d'exonération du ticket modérateur.
Actuellement, il s’applique aux demandes d'Affection de Longue Durée (ALD) exonérantes (liste des 30 maladies, affections hors liste et polypathologies) des patients affiliés au régime général de la sécurité sociale, hors sections locales mutualistes (PTT, SLI, MGEN, police). ...suite

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Prescriptions d'antibiotiques en Auvergne
Globalement depuis 2002, grâce à l’adhésion et à l’implication des médecins et des assurés à la campagne de sensibilisation menée par l’Assurance maladie : « les antibiotiques, c’est pas automatique », la consommation d’antibiotiques a reculé de façon significative. ...suite

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Retrait programmé du dextropropoxyphène
Le Comité des médicaments à usage humain de l’EMEA a réévalué les spécialités contenant du dextropoxyphéne (DXP). Au terme de cette évaluation, le Comité a considéré que les preuves d’efficacité thérapeutique sont insuffisantes au regard du risque de décès, en cas de surdosage accidentel ou volontaire. Il a conclu qu’aucune mesure complémentaire permettant de minimiser le risque ne pourrait être suffisante pour éviter les conséquences graves d’un surdosage.
Il a recommandé que le retrait de l’association dextropropoxyphène/paracétamol (DXP/PC) intervienne de façon progressive pour permettre aux pays concernés de prendre les dispositions nécessaires à sa mise en œuvre....suite

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Etude des coûts par pathologies
Réalisées dans cinq pays (Allemagne, Australie, Canada, France, Pays-Bas) à partir des comptes nationaux de la santé, les études de coûts par pathologie ont permis d’estimer la répartition des dépenses de soins par groupe de pathologies.
Ainsi, trois grands groupes de pathologies prédominent dans les dépenses de soins (hospitaliers, médecins libéraux et médicaments) dans les cinq pays :
- les maladies cardiovasculaires ;
- les maladies digestives ;
- les troubles mentaux.
suivis par les maladies du système ostéo-articulaire et des muscles, et par les tumeurs. On peut noter également un autre point commun, les coûts peu élevés associés à deux autres catégories de pathologies : les complications de la grossesse et de l’accouchement et les maladies du sang.
En ce qui concerne les coûts, comme le note les auteurs: « Les écarts dans les résultats de ces cinq
études de coût par pathologie peuvent s’expliquer par les différences d’organisation et de performance des systèmes de santé ou par le profil épidémiologique et démographique respectif de chaque pays ».
Pour en savoir plus consultez: Questions d’économie de la santé : Etude des coûts par pathologie : une comparaison méthodologique entre cinq pays
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Deux avenants à la convention des médecins
Les avenants n° 29 et 30 à la convention nationale organisant les rapports entre les médecins libéraux et l'assurance maladie ont été publiés au JO du 17/07/09
L’avenant n°29 porte sur la création du comité technique paritaire permanent national chargé d'appliquer le programme de simplifications administratives et d'accompagner la mise en place des actions décidées au niveau local.
L’avenant n°30 concerne la création d'un fonds des actions conventionnelles (FAC) placé au sein de la CNAM. Ce fonds a vocation à financer des actions d'accompagnement des mesures décidées par les parties signataires de la convention (aide à l'informatisation, dispositif de reconversion vers la médecine du travail et la prévention, aide à la souscription d'une assurance en RCP, formation professionnelle continue, évaluation des pratiques professionnelles…). Il doit également solder l'allocation de remplacement attribuée aux médecins ayant souhaité bénéficier du MICA.
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Pharmacovigilance info n°9
Le centre régional de pharmacovigilance et d’information sur les médicaments et les services de pharmacologie et pharmacologie clinique du CHU de Clermont-Ferrand viennent de publier le n°9 de Pharmacovigilance Info (juillet 2009). PSA relaie cette diffusion de ce bulletin régional riche en information pour votre pratique.
Ce support à pour vocation de répondre à vos questions sur les médicaments, d’analyser les effets indésirables graves ou inattendus de ces derniers, d’avoir un retour de certaines déclarations régionales.
Et de plus de vous permettre de déclarer vos effets indésirables (article R 5144-19 du Code de la Santé publique).
Pour en savoir plus consultez Pharmacovigilance Info n° 9 (juillet 2009)
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info flash : cures thermales
Des difficultés sont apparues dans les modalités de rémunération des médecins généralistes assurant la surveillance des patients suivis dans le cadre d’une double orientation thérapeutique lors d’une cure thermale.
En tant que médecin généraliste, votre polyvalence vous permet d’assurer intégralement la surveillance du curiste.
Par conséquent, lorsque vous suivez un patient pour deux orientations, vous pouvez facturer un forfait de surveillance thermal (STH) + éventuellement la majoration du forfait de cure thermal (CST) si vous êtes signataire du contrat de bonnes pratiques, soit 64.03 € + 10.00 €.
Ces dispositions sont à appliquer dés réception de cette information. Votre caisse primaire d’assurance maladie reste à votre écoute pour tout renseignement complémentaire.
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